Louise Penny, née en 1958 a préalablement travaillé dans l’audiovisuel avant de se consacrer à
l’écriture. Un « Outrage Mortel » est le septième roman qui met en scène Armand Gamache,
inspecteur-chef de la section des homicides de la Sûreté au Québec.
A la retraite, il accepte de prendre la direction de l’école de police de la Sûreté, minée par des
affaires de corruption. A cette occasion, on lui offre une carte centenaire découverte derrière un mur dans le bistro du village de Three Pines où il réside avec son épouse. L’enquêteur explore dès lors la piste d’un passé qu’il préfèrerait oublier. Entrent alors en scène quatre étudiants de l’école de police et un professeur…retrouvé assassiné. Ces romans à énigmes sont axés sur les personnages pour montrer leurs personnalités et leurs failles.
A lire pour apprécier la personnalité d’Armand Gamache et suivre les conseils qu’il donne aux
nouvelles recrues : pouvoir dire « J’avais tort », « Je suis désolé », « Je ne sais pas » et « J’ai besoin d’aide ».
IMPRESSION DE : Marie-Rose Vanhorick.

Ce thriller se déroule à Los Angeles et débute lors du passage de l’année 2020 à celle de 2021 au cours de la pandémie du Covid. L’inspectrice Renée Ballard en planque avec Lisa Moore de l’unité des crimes sexuels espère mettre la main sur deux prédateurs qui violent des femmes seules et qui à deux reprises ont commis ces agressions au cours de soirs de fête.
Lors des festivités qui marquent le début de 2021, un homme s’écroule, touché par une balle « qui a ricoché » …accident ou crime. Proches du lieu de ce méfait, les deux enquêtrices s’y rendent. L’enquête déterminera qu’il s’agit d’un crime et donc Ballard aura la charge de deux affaires. Elle bénéficiera de l’aide de Harry Bosch, à la retraite, mais le meurtre par balle est lié à un autre non résolu dont il avait la charge.
Suite dans ce thriller efficace qui met les nerfs des lecteurs à rude épreuve.

IMPRESSION DE : Marie-Rose Vanhorick.

Dialogue avec Frédérique Dolphijn ; cinéaste, metteur en scène, comédienne et écrivain qui
s’intéresse aux passerelles entre l’art et le vivant. Comme préalable à l’entretien, elle a préparé des mots sur bandelettes que Nicole Malinconi a tirés au sort et par rapport auxquels elle a réagi oralement. Voici les mots en question : mouvement, regard, mémoire, raconter, émotions, corps, singulier-singulière, écrire, créer, l’autre – les autres, ailleurs, lire, essentiel et réel.
Je retiendrai ce que dit Nicole Malinconi « J’écris parce que le besoin d’écrire est en moi, comme si c’était le lieu où créer est possible ».
J’ai aimé cerner la pensée d’une autrice belge que j’admire.

IMPRESSION DE : Marie-Rose Vanhorick.